le parrainage de proximité, un soutien à la scolarité
Chantal et Raphaël, parrains de coeur et soutiens essentiels dans la scolarité de leur filleul
"Pendant le confinement, nous avions un rendez-vous quotidien avec Daouda afin de l’aider à faire des exercices et de la lecture par visioconférence"
"Pendant le confinement, nous avions instaurer un rendez-vous quotidien avec Daouda par visioconférence afin de l’aider à faire des exercices et de la lecture. Il a même tenu à me lire un livre lors d’une visioconférence pour me montrer ses progrès ! C’était un peu compliqué de par la distance physique, mais nous avons réussi en mettant en place un rituel quotidien pour le soutenir dans ses devoirs."
"On peut dire que le parrainage de proximité a eu un impact positif sur sa scolarité. J’ai senti chez Daouda une plus grande aisance à la fin du confinement. Dès le déconfinement, il est rapidement retourné à l’école et son institutrice était particulièrement contente de ses progrès. Il a fait beaucoup d’efforts d’attention, de concentration et les appréciations de son enseignante s’en sont ressenti. Elle était d’ailleurs surprise du changement. Je pense qu’on a réussi à maintenir un lien afin qu’il ne soit pas en perdition. En ce moment, il profite de ses vacances, il se fait des amis, mais nous savons qu’il est prêt pour la rentrée des classes."
Des enfants parrainés témoignent de l'impact du parrainage de proximité sur leur scolarité
"Le parrainage de proximité a eu beaucoup d’impact sur ma scolarité, ma marraine institutrice m’a beaucoup apporté", Jean-Brunnel, parrainé en Picardie.
Daouda, 10 ans, parrainé par Raphaël et Chantal
"Pendant le confinement, j’ai été un peu choqué par l’école à la maison, parce que je n’ai pas l’habitude et aussi parce qu’on avait beaucoup de devoirs au début. C’était dur. Par contre on a pu discuter par visioconférence avec mes parrains de cœur. Ils me lisaient une histoire ou m’aidaient aussi à faire mes devoirs comme ça." Découvrez son témoignage sur ses retrouvailles avec ses parrains après le confinement.
Bryan, 23 ans, parrainé en France jusqu’à ses 21 ans par Gilles et sa femme
"Étant seule avec moi, ma mère a souhaité me faire parrainer pour que je puisse être épaulé. Je n’étais pas très travailleur. Mes parrains de cœur m’ont motivé, ils m’aidaient souvent à faire mes devoirs lorsque je venais chez eux le week-end par exemple. Ils m’ont aussi soutenu dans mon insertion professionnelle en m’aidant à faire un CV ou en me faisant découvrir leur métier. "
Jean-Brummel, 32 ans, parrainé en Picardie pendant près de 10 ans
"Mes parrains de cœur, Jean-François et Sylvia, étaient des jeunes actifs, avec une fille de 8 ans. Ils avaient la quarantaine. Sylvia est toujours maitresse d’école de petite section et moyenne section et avant mon parrain travaillait au Conseil Régional. Le parrainage de proximité a eu beaucoup d’impact sur ma scolarité, ma marraine institutrice m’a beaucoup apporté. Je vivais dans un quartier populaire et je n’avais pas forcément d’aide à la maison. Mes parrains m’ont vraiment soutenu pendant l’école ! Durant les vacances d’été, on faisait des cahiers de vacances et pendant l’année ils m’aidaient surtout à faire mes devoirs. Aujourd’hui je me rends compte qu’ils ont eu un rôle très important dans la personne que je suis devenue. "
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